Ah les limites ! J’ai le souvenir d’arriver en famille chez oncle et tante retraités. Tout était nickel propre et rangé, mais il ne fallait pas bouger sous peine de bousculer un bibelot, de salir le tapis, de déplacer chaise ou une plante verte, de faire du bruit… imaginez avec les enfants ! Nous nous sentions paralysés, mal à l’aise. Il y avait bien un peu d’espace mais il était encombré, il n’était pas ouvert, pas vivant, ne nous offrant que l’envie pressante de partir.