Parfois je choisis une posture simple pour observer la relation entre le corps et le souffle. Pas seulement observer la coordination mais plus particulièrement l’espace entre les deux partenaires, sans autre enjeu que d’observer. C‘est spécial parce que l’espace en soi n’est rien. Alors j’ai besoin de lâcher-prise, de ne pas chercher un résultat ni une performance, ni espérer une révélation quelconque. Je dois juste être là, observateur de l’intervalle entre corps et souffle, observateur de l’espace libre entre les deux.